Espingole de marine- canon bronze de 41,3cm finement gravé d’une
ancre- platine marquée ROUSSET en cursives- bassinet fer- chien,
serre pierre et vis de contre platine remplacés- toutes garnitures fer-
anciennement oxydées- bois remplacé-LT : 78cm- montage- Époque XIX°-
espingole de marine, modèle 1840 à percussion..Fort canon en
bronze, à bourrelet à la bouche.
Platine démontable.à chien patiné noir. Monté sur son rare étrier et sa
cale en bois..4500euros
jeudi, juin 27, 2013
fusil de "hune" et fusil de marine
Fusil à silex de marine, modèle An IX..Canon rond, à pans au tonnerre, daté « 1813 ». Platine gravée « Mre.Imple de Tulle », poinçonnée, chien à corps rond. Garnitures en fer et.laiton. Crosse en noyer. Baguette en fer. 1500euros
Fusil de marine Kropatschek , modèle 1878,.calibre 11 mm. Canon rond à pans au tonnerre, avec hausse. Boîte.de culasse marquée « MANUFACTURE DE MP DE WERNDL.STEY R AUTRICHE MLE 1878 MARINE » Garnitures en fer..Crosse en noyer 3000euros
mardi, juin 11, 2013
archéologie sous-marine
CACHE-CACHE DANS LES PROFONDEURS
Michel L'Hour et Karel Prokop retrouveront-ils les vestiges de la caraque Santiago, perdue en 1585 avec 400 000 pièces d’argent à son bord ? Ou constateront-ils que, une fois de plus, les pilleurs d’épaves sont passés avant ? Le film montre le jeu de cache-cache auquel se livrent chasseurs de trésors et archéologues dans les profondeurs des océans. Les richesses englouties représentent le plus grand musée au monde. Avec des moyens souvent limités, les archéologues tentent de les sauver et d’alerter l’opinion internationale sur les conséquences du pillage. Dans ce film, la recherche archéologique se transforme en véritable enquête à travers plusieurs continents pour retrouver un mystérieux aventurier qui aurait, le premier, mis la main sur le fabuleux trésor. Karel Prokop finit par le découvrir sous les traits d’un paisible citoyen suisse, à Bâle, qui accepte de lui livrer son témoignage…et ses archives.
commentaires vu sur facebook;
Dans ce film monsieur L'Hour directeur de l'archéologie sous-marine en France se présente comme le "chevalier blanc" de la lutte contre "la piraterie" sous-marine, il est le pourfendeur des voleurs de trésors, des pilleurs d'épaves des aventurier sans scrupules qui parcourent le monde . il n'hésite pas :dit il :à dénoncer ses propres amis............. Mais sur ce films on voit deux des ces "pirates" monsieur Clavel et un Suisse ,tous deux sont infiniment plus sympathiques que le directeur du DDRASM... monsieur l'Hour s'acharne sur ces deux aventuriers ,et pourtant avec des moyens ridicules ,un simple boutre, ils ont réussis là ou il a échoué,avec un cargo, un hélicoptère des zodiacs,des GPS l'monsieur l'Hour veut avec l'aide de l'UNESCO réserver à "a sa science " toute la découverte des épaves ,de Saint Malo à Madagascar....le monde des mers est reservé au DDRASM ,le musée du Cap est un receleur ,idem celui de Lisbonne....Pourtant l'histoire nous montre que pour rêver on à toujours besoin des "aventuriers,comme H de Monfreid affreux trafiquant de drogue, et de ces deux hommes présentés dans le film.......... Tous nos garçons ont un habit de pirate... Aussi vouloir comme il le montre dans ce film "avoir la peau " de monsieur Clavel,ne pas rendre hommage au moins à l'aventurier suisse d'avoir, avec un simple boutre, réussi ce qu'il n'a pas fait en 2000 ne peut pas nous le rendre sympathique . Il faut aussi considérer que son institution est à la charge du contribuable,les sommes considérables perdus dans cette expédition, cela n'est pas grave le contribuable va payer...L'histoire nous montre aussi que tous les excés, comme en son temps l'Inquisition sont néfastes ..... Plutôt que de considérer tous les plongeurs comme des voleurs ,pilleurs il vaudrait beaucoup mieux avoir avec eux une concertation et les aider à mettre en valeur les trouvailles........même ces gens qu'il traite de voleurs ont conscience qu'un objet trouvé au fond de l'eau n'a de valeur que dans un certain contexte historique ils ne sont pas tous ignares ..mais cela va à l'encontre de l' égo de certains fonctionnaires.......
épaves
Michel L'Hour et Karel Prokop retrouveront-ils les vestiges de la caraque Santiago, perdue en 1585 avec 400 000 pièces d’argent à son bord ? Ou constateront-ils que, une fois de plus, les pilleurs d’épaves sont passés avant ? Le film montre le jeu de cache-cache auquel se livrent chasseurs de trésors et archéologues dans les profondeurs des océans. Les richesses englouties représentent le plus grand musée au monde. Avec des moyens souvent limités, les archéologues tentent de les sauver et d’alerter l’opinion internationale sur les conséquences du pillage. Dans ce film, la recherche archéologique se transforme en véritable enquête à travers plusieurs continents pour retrouver un mystérieux aventurier qui aurait, le premier, mis la main sur le fabuleux trésor. Karel Prokop finit par le découvrir sous les traits d’un paisible citoyen suisse, à Bâle, qui accepte de lui livrer son témoignage…et ses archives.
commentaires vu sur facebook;
Dans ce film monsieur L'Hour directeur de l'archéologie sous-marine en France se présente comme le "chevalier blanc" de la lutte contre "la piraterie" sous-marine, il est le pourfendeur des voleurs de trésors, des pilleurs d'épaves des aventurier sans scrupules qui parcourent le monde . il n'hésite pas :dit il :à dénoncer ses propres amis............. Mais sur ce films on voit deux des ces "pirates" monsieur Clavel et un Suisse ,tous deux sont infiniment plus sympathiques que le directeur du DDRASM... monsieur l'Hour s'acharne sur ces deux aventuriers ,et pourtant avec des moyens ridicules ,un simple boutre, ils ont réussis là ou il a échoué,avec un cargo, un hélicoptère des zodiacs,des GPS l'monsieur l'Hour veut avec l'aide de l'UNESCO réserver à "a sa science " toute la découverte des épaves ,de Saint Malo à Madagascar....le monde des mers est reservé au DDRASM ,le musée du Cap est un receleur ,idem celui de Lisbonne....Pourtant l'histoire nous montre que pour rêver on à toujours besoin des "aventuriers,comme H de Monfreid affreux trafiquant de drogue, et de ces deux hommes présentés dans le film.......... Tous nos garçons ont un habit de pirate... Aussi vouloir comme il le montre dans ce film "avoir la peau " de monsieur Clavel,ne pas rendre hommage au moins à l'aventurier suisse d'avoir, avec un simple boutre, réussi ce qu'il n'a pas fait en 2000 ne peut pas nous le rendre sympathique . Il faut aussi considérer que son institution est à la charge du contribuable,les sommes considérables perdus dans cette expédition, cela n'est pas grave le contribuable va payer...L'histoire nous montre aussi que tous les excés, comme en son temps l'Inquisition sont néfastes ..... Plutôt que de considérer tous les plongeurs comme des voleurs ,pilleurs il vaudrait beaucoup mieux avoir avec eux une concertation et les aider à mettre en valeur les trouvailles........même ces gens qu'il traite de voleurs ont conscience qu'un objet trouvé au fond de l'eau n'a de valeur que dans un certain contexte historique ils ne sont pas tous ignares ..mais cela va à l'encontre de l' égo de certains fonctionnaires.......
épaves
samedi, juin 08, 2013
René QUILLIVIC (1879-1969) peintre officiel de la marine
René Quillivic 1879-1969 est un sculpteur graveur sur bois et céramiste français.
René Quillivic est issu d'une modeste famille de plouhinec finistère où il naît en 1879 Dans sa jeunesse, parlant breton, il ignorait la langue française.
Il se prépare à exercer le métier de menuisier-charpentier et fait le Tour de France pendant lequel il apprend la langue française, apprenant ensuite l'alphabet pendant son service militaire. Ayant bénéficier d'une bourse du Conseil général du Finistère, il décide s'orienter vers la sculpture et part se former à l'école des beaux arts de paris . Le plus souvent, il utilise un granite d'un gris très doux qui donne aux jupons et aux corsages de ses villageoises sculptés un grain de bure, mais taille aussi parfois ses têtes de femmes dans un granite noir. Il travaille en 1905 dans l'atelier d' antonin Mercier . Il expose dans les principaux salons : En 1907, il remporte la médaille d'or du Salon des Beaux-Arts avec Le groupe des sonneurs bretons. L'année suivante, une autre de ses œuvres, La Brodeuse de Pont-l'Abbé, lui permet d'obtenir des bourses pour voyager en Afrique du nord ainsi qu'en Italie . Il meurt à Paris en 1969.
Il a aussi sculpté de nombreux monuments aux morts leur assignant une place tout à fait à part dans l'histoire de l'art, s'attachant moins à montrer le sacrifice du poilu mourant ou mort que l'« évocation du sacrifice tel qu'il se reflète dans les yeux et dans l'attitude de tous ceux qui souffrent de ne plus avoir le disparu à leurs côtés , représentant par exemple un père à Plozevet, une mère à Carhaix , une sœur à Banalec , une orpheline à Coray le poilu disparu apparaissant quelquefois, mais comme par surcroît.
estimation 500 € - 600 € |
VENISE
René Quillivic
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