dimanche, novembre 14, 2021

Maxime MAUFRA Peintre

 Maxime Maufra  peintre officiel de la marine  est un peintre de la BRETAGNE.

il est tres présent en salles de ventes  surtout à Brest  à des prix élevés.
                                                                      800 - 1200 EUR
Maxime MAUFRA (1861-1918)
L'entrée du village
Fusain et aquarelle, signé en bas à droite
24 x 19,5 cm

Maxime Maufra (1861-1918), Les Arbres fantastiques, 1893, huile sur toile, 60 73 cm.
Estimation : 30 000/40 000 

Deux paysannes, vêtues de longues robes noires et de coiffes blanches typiquement bretonnes, s’éloignent sur un chemin de campagne baigné de lumière ; au bout de leur route, une maison au toit d’ardoise et des arbres malmenés par le vent. Ces deux silhouettes paraissent bien frêles face à la rudesse de la nature. Bien que Maxime Maufra ne se soit jamais laissé totalement séduire par le synthétisme d’Émile Bernard et de Paul Gauguin, on perçoit dans cette composition, précoce dans sa carrière, leur influence dans les formes épurées, une touche moins hachurée et le rendu presque irréel de ce paysage à la fois expressif et mystérieux. Durant l’année 1893 justement, Maxime Maufra, installé au Bateau-Lavoir à Montmartre, reçoit la visite de son ami Gauguin, de retour de Polynésie. Ce dernier observe ses dernières œuvres peintes en Bretagne, où il se rend chaque année, et le félicite. A-t-il vu parmi elles ces Arbres fantastiques ? Les deux hommes s’étaient rencontrés en 1890 à Pont-Aven, où Maufra séjournait à la pension Gloanec. Nantais d’origine, initié à la peinture par les frères Charles et Alfred Leduc, l’artiste effectue ses études en Grande-Bretagne. Son père veut faire de lui un homme d’affaires, mais ce séjour lui permet surtout de découvrir Turner et les paysages naturalistes. De retour en France, en 1884, il poursuit sa formation artistique auprès de Charles Le Roux, avant que son travail ne soit repéré au salon de Paris, en 1886, par Octave Mirbeau. Il expose ensuite régulièrement, notamment chez son marchand Paul Durand-Ruel, et alterne les séjours entre la capitale, la Normandie et la Bretagne, une région qu’il n’abandonnera jamais. Ainsi, il s’installe en 1903 dans le petit village de Kerhostin, dans le Morbihan, pour se consacrer jusqu’à la fin de sa vie aux paysages locaux, qu’il transcrit dans des couleurs claires et une touche hachurée et dynamique… qui font de lui l’un des peintres postimpressionnistes les plus apprécié




maxime Maufra montait sur la première marche du podium grâce un paysage breton disputé jusqu’à 40  870  €. Son sujet marin, parfaitement restitué par l’auteur  ? La Marée montante, côte de Quiberon , qui a été brossée sur une toile signée (60  x  81  cm) et est passée…



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